Train d’enfer pour ange rouge – Franck Thilliez

Résumé : Un cadavre en morceaux artistiquement répartis est retrouvé aux environs de Paris. La victime a été décapitée et son corps martyrisé a fait l’objet d’une mise en scène défiant l’imagination. Le commissaire Franck Sharko est dépêché sur les lieux. Les ténèbres, il connaît : sa femme a disparu depuis six mois. Aucun signe de vie, aucune demande de rançon. Et cette nouvelle affaire, en réveillant le flic qui dormait en lui, va l’emmener au cœur de la nuit, loin, beaucoup trop loin…

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Note personnelle : ★ ★ ★ ☆ ☆

Avis : Il n’est pas rare de lire que « Train d’enfer pour ange rouge » est le premier roman de Thilliez (lui-même en parle comme étant le premier de son aventure littéraire), cependant c’est inexact. Le premier est paru en 2002, il s’agit de « Conscience animal » des éditions CY. Passons cette anecdote et plongeons-nous dans ce « premier » roman mettant en scène le Commissaire Sharko.

Nous retrouvons dans ce roman ce qu’il y a de plus classique dans un thriller. Un commissaire torturé par la disparition de sa femme, acharné du travail, drogué à la caféine, par conséquent insomniaque, qui a des difficultés à suivre les procédures, malgré tout un personnage profondément humain. Somme toute, un personnage que nous croisons souvent dans ce type de lecture. Je suppose que ce sont des choix faits pour donner de la profondeur au protagoniste. La personnalité et l’histoire de Sharko posent, à mes yeux, les bases d’un thriller des années 2010.

Ce que je retiens du roman ce sont les cadavres mutilés, l’horreur poussée à son extrême, les découvertes faites en refusant de suivre les règles, la mise en danger consciente et quasiment systématique du personnage principal. Peut-être trop habituée à ce genre, je n’ai pas été impressionnée ni dérangée par cette envie de nous en mettre plein les yeux. Au contraire, je me disais que Thilliez voulait nous prouver qu’il était capable d’écrire des choses terrifiantes, à la limite de l’obscène, dans un style parfois dense. Je pense comprendre désormais pourquoi il y a dans ce livre d’un tel déferlement de violence et des phrases lourdes : ce sont les débuts de notre auteur. Nous pouvons ressentir la volonté de bien faire, l’envie également de prouver ses capacités, de faire découvrir sa plume, qui à ne pas en douter avait vocation à être ensanglantée. Je me permets d’avoir un œil critique sur la construction des phrases, car je souffre également du « syndrome du débutant ».

Petite anecdote : Je suis une spécialiste quand il s’agit de ne pas lire les tomes dans l’ordre, j’ai été par conséquent surprise d’apprendre que la femme de Sharko avait disparu, alors que je la croyais décédée dans un accident de voiture. Cette incohérence, inhérente à mon fameux running gag, m’a permis de me rendre compte que je n’avais lu dans le bon ordre. Une fois de plus.

Pour conclure, vous l’avez compris, je me suis noyée dans l’hémoglobine en essayant de suivre l’intrigue. Je suis passée à côté de l’histoire. Le pauvre auteur arrive comme un dessert dans mon repas de thriller. Ce qui devait être une claque littéraire il y a seize ans, est simplement « un thriller de plus » aujourd’hui. Je le place aux côtés de Chattam et Grangé, qui sont comme Thilliez, d’excellents auteurs, avec parfois des romans qui n’arrivent pas à me subjuguer. Je reste d’avis qu’il s’agit d’un bon roman, qui a sa place dans ma bibliothèque. Et pourquoi pas, dans la vôtre.

Je vous laisse sur une vidéo de Franck Thilliez qui nous parle de son oeuvre. 😉

Anecdote : Roman lu dans le cadre du Pumpkin Autumn Challenge, menu automne frissonnant, catégorie « Les supplices de la Belladone (un livre à la couverture noire) ». 🎃Badge PAC 2020

Bonne lecture ! Signé C.

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Les romances de Noël sur Netflix 🎅🎬

Après une longue pause salvatrice, je reviens vous écrire quelques mots… (Sorry not sorry). Noël approche à grands pas, comme vous le savez, ce qui me donne envie de partager autour de ce sujet. Je vais commencer doucement, avec une sélection de films sur Netflix.

Je n’arrête pas de répéter que je ne suis pas du genre  regarder des choses que j’estime être trop « niaises » à mon goût, comme les téléfilms de Noël (que je trouve bourrés de clichés) ou les romans d’amour. Ce sont d’ailleurs deux choses qui habituellement m’insupportent, tout comme les émissions de télé-réalité avec des candidats que je trouve trop vulgaires. Mais une fois n’est pas coutume, l’esprit de Noël aidant, j’ai décidé de regarder ce que je vais appeler les « marshmallows movies ». Regardez donc ce que je vous ai déniché !

A Christmas Prince

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Pour cette jeune femme qui rêve de devenir journaliste, c’est Noël avant l’heure quand on l’envoie à l’étranger décrocher un scoop sur un futur roi bien charmant. 

CaptureJe trouve que c’est un film du style « Cendrillon » (un prince tombe amoureux d’une jeune femme de la classe moyenne), vous pouvez le constater grâce au résumé ci-dessous. Amber, jeune journaliste, est envoyée en Aldovie par sa supérieur pour participer à une conférence de presse. Or le prince Richard ne daigne pas se montrer. Refusant de partir sans scoop, la jeune femme entre par effraction dans le palais et est abordée par un majordome qui la prend pour la nouvelle tutrice de la princesse, décide de rester sous couvert de cette fausse identité qu’on lui sert sur un plateau. Improbable me direz-vous, dans un château, aucun contrôle d’identité ?! Et la sécurité de la famille royale alors ? Mais les « marshmallows movies » n’ont que faire de ces détails… Amber peut donc commencer à fouiner pour trouver de quoi écrire un scoop qui lui permettra de lancer sa carrière. Bien évidemment, elle découvre que le prince ne ressemble en rien à l’image que lui donne la presse à scandales. C’est un vrai prince charmant, avec toutes les qualités que l’on peut attendre de lui. La famille royale entière est parfaite d’ailleurs. Je ne raconterais pas plus l’histoire, vous vous doutez bien qu’ils découvrent le pot aux roses mais passent outre. La belle Amber devient donc la fiancée du prince, happy end !

Surprise ! Il existe une suite de deux films, au cas où votre médecin ne vous ait pas encore diagnostiqué du diabète après que vous ayez regardé le premier. Je n’ai pas encore vu le troisième, mais je peux déjà vous dire que le second est tout aussi mignon que le premier.

A wish for Christmas

téléchargement.pngUn soupçon de magie 🎅

Sara est une fille timide, qui préfère ne pas dire ouvertement ce qu’elle pense. Toutefois, quand quelqu’un lui vole une idée brillante pour les fêtes de Noël, les choses changent.

Un conseil, ne regardez pas ce film en VF, privilégiez la VOSTFR (rien qu’au titre français nous savons que ce n’est pas la meilleure des idées « Un petit souhait pour Noël »). C’est un film sympathique pour débrancher son cerveau pendant une heure et demi. Sara reçoit après la fête de Noël du bureau (où elle apprend que son supérieur lui a volé son idée), de la part d’un Père Noël (LE Père Noël ?) une carte lui proposant de formuler un vœu dont les effets dureront 48 heures. Elle formule un vœu sans vraiment le réaliser (par contre celui-ci se réalise), elle dévoile la vérité devant tout le personnel, et bien évidemment le directeur général ayant tout entendu décidé de virer l’usurpateur et annonce à Sara qu’elle doit partir avec lui à Seattle pour présenter le projet dont elle est la vraie créatrice. Pour le moment, peu de guimauve sur le chocolat chaud… N’est-ce pas ? Ne soyez pas déçus, un film « de Noël » ne s’arrête pas après avoir rendu justice. Finalement le petit couple arrive à Seattle, où ils apprennent que leur client a décidé de donner le contrat à un concurrent…. Mais pleine de ressource (et de magie) Sara rattrape la situation. De fil en aiguille, ils se retrouvent à passer du temps dans la famille du directeur. Puis… C’est le moment de la guimauve, ils tombent amoureux et happy end !

The Knight Before Christmas

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Ou en français « L’alchimie de Noël » 🎅

Une formule magique envoie un chevalier du XIVe siècle dans l’Amérique contemporaine, où il tombe amoureux d’une professeure de sciences déçue par l’amour.

lalchimie-de-noel-netflix-vanessa-huydensAvez-vous déjà regardé « Les visiteurs » ? C’est une version bien plus romantique, mais moins drôle. Le chevalier Cole voyage dans le temps, atterrit dans une époque où tout est incroyable pour lui, surtout le charme de Brooke… Comme nous pouvons nous y attendre, il va lui faire reprendre confiance en l’amour. Sous nos yeux plein d’étoiles (et sous la neige), un nouveau couple se créé. Un passage m’a fait plus sourire que le reste, c’est aussi le passage qui m’a clairement rappelé le film « Les visiteurs », quand Cole hèle une serveuse en l’appelant « la gueuse » (heureusement qu’il n’a pas ajouté qu’elle était un laideron mais qu’elle était bien bonne, n’est-ce pas ?). Il a aussi appelé une télévision « boite magique qui répand le bonheur », là, je ne suis pas d’accord avec lui. Et vous ? Tout ça pour dire que j’ai passé un bon moment cocooning devant ce marshmallows movie.

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S’il vous prend l’envie de visionner ces films, j’espère que vous passerez vous aussi de beaux moments plein de douceur et de guimauve. 🎅☕

Peut-être aurais-je le temps de faire un second article sur les films de Noël, dans une autre catégorie parce que je dois vous avouer que je fais une overdose de sucre !

Passez de belles fêtes de fin d’année,
Signé C.

Am Stram Gram – M.J. Arlidge

Résumé : Deux jeunes gens sont enlevés et séquestrés au fond d’une piscine vide dont il est impossible de s’échapper. À côté d’eux, un pistolet chargé d’une unique balle et un téléphone portable avec suffisamment de batterie pour délivrer un terrible message :  » Vous devez tuer pour vivre.  » Les jours passent, la faim et la soif s’intensifient, l’angoisse monte. Jusqu’à l’issue fatale. Les enlèvements se répètent. Ce sont les crimes les plus pervers auxquels le commandant Helen Grace ait été confrontée. Si elle n’avait pas parlé avec les survivants traumatisés, elle ne pourrait pas y croire. Helen connaît les côtés sombres de la nature humaine, y compris la sienne ; pourtant, cette affaire et ces victimes apparemment sans lien entre elles la laissent perplexe. Rien ne sera plus terrifiant que la vérité.

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Note personnelle : ★ ★ ★ ★ ★

Avis : Comme le résumé l’indique, l’histoire commence avec un couple séquestré dans une piscine vide. Deux personnes, une séquestration, un message menaçant et un seul survivant : est-ce qu’une ampoule s’allume au-dessus de votre tête ? 💡 Évidemment, ça me fait penser au premier SAW, où deux hommes étaient emprisonnés, avec des énigmes et un terrible dilemme. Voilà pourquoi j’ai autant aimé ce livre. 💖

Je reviens rapidement sur le titre que je trouve particulièrement bien trouvé : Am Stram Gram, qui est une « formulette d’élimination » (je n’avais jamais entendu ce terme), une sorte de « plouf plouf » (qui était un peu plus répandu dans mon école) et qui colle parfaitement avec la situation des victimes. Ils sont soumis à un cruel dilemme, un des deux doit être éliminé pour que l’autre s’en sorte, pourquoi pas par une de ces fameuses « formulette d’élimination »… De plus, c’est une comptine pour enfant, rappelons-le, qui est en rapport avec un deuxième élément que nous découvrons à la fin du roman (pour ceux qui ont eu la chance de lire le roman, vous devriez comprendre de quoi je parle, l’enfance, et cetera).

Les enlèvements et les victimes augmentent au fil des pages, forçant Helen Grace à mener l’enquête sur ce que nous pouvons très vite appeler un « serial killer » ou « tueur en série » pour les plus francophones d’entre nous (donc essentiellement pour moi, la seule personne qui parle très mal anglais en 2019). J’ai adoré le côté torture psychologique, où finalement le coupable fait preuve d’une grande cruauté (presque) sans avoir recours à la violence physique. Avouons-le, c’est pervers ce mode opératoire. Les survivants sont complètement traumatisés, obligés de continuer à vivre avec une culpabilité ignoble sur les épaules, d’ailleurs pouvons nous réellement parler de survivants dans ce cas ?

En somme, ce roman est une perle de la catégorie thriller ! 😍💖

Anecdote : Il fallait que ça arrive un jour : je n’ai pas d’anecdote pour ce roman ! Même pas mon célèbre runing gag où je ne lis pas la série dans l’ordre… 📚 Offert par mon amoureux à mon anniversaire 📚

Bonne lecture ! Signé C.

La maison des damnés – Le film

Après avoir lu le roman dans le cadre du Pumpkin Autumn Challenge 2018, menu automne frissonnant, sous-menu « Le fantôme de l’Opéra », j’ai décidé de regarder le film (huit mois plus tard tout de même).

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Synopsis : Afin de découvrir les mystères de « la maison des damnés », une équipe composée d’un couple de physiciens, d’une médium et d’un survivant s’enferme pendant une semaine dans cette maison d’où l’on ressort soit mort, soit fou.

Voici la liste des acteurs principaux ainsi que leur rôle :

→ Lancement du streaming, attention aux yeux ! 

Confortablement enroulée dans un plaid, un chat sur les genoux, un chat sur le bureau, je lance la vidéo. Rétro ! C’est bien entendu le premier mot qui me vient à l’esprit.

Mon premier constat est que le physique des personnages diffère de celui que j’imaginais pendant ma lecture. Ma chère médium hystérique n’est pas la sublime rousse plantureuse du livre, à la place c’est une jeune femme brune, mignonne, qui ne semble pas énormément traumatisée par son arrivée dans la maison des damnés. La femme du scientifique est plus distinguée et chic que la « femme américaine, un poil nunuche, mariée à un goujat des années 70 » que j’imaginais. L’ancien médium était plus « attirant, blasé, mystérieux, bref le beau gosse du groupe » dans mon esprit (c’est le mec qui a perdu toute son équipe, faillit y laisser sa peau, mais qui revient quand même dans le manoir pour un peu de thune). Là, bon… Il avait peut-être du succès à l’époque cela dit d’autant plus que dans le film il porte des lunettes qui ne lui vont pas. Quant au scientifique, le Docteur Barrett, il n’était pas en excellente forme, je crois me souvenir qu’il avait un soucis à la guibolle (sexy le langage familier… mais vous m’excuserez, nous sommes toujours ce fichu samedi matin), qui expliquait la frustration sexuelle de sa femme, pourtant il a l’air d’être en bonne santé dans ce film. Peut-être que ma mémoire me joue des tours. Si vous avez lu le roman, je serais ravie que vous me rafraîchissiez la mémoire.

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→ Dix minutes de film.

J’en suis donc à dix minutes de film, et jusque là, excepté le physique des personnages, tout me semble assez fidèle au roman. Devant la chapelle, nous voyons la médium gênée et nous entendons des bruits ressemblant à des gémissements féminins. Connaissant le roman, j’espère ne pas regarder une sorte de film pornographique un peu glauque et vieillissant !  😂🍆🍑

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→ Trente minutes de film.

Effectivement, le scénario correspond au roman. C’est un bon point ! Les effets spéciaux ne sont pas extrêmement impressionnants, cependant, ils restent corrects. Quelques objets tremblent, une couverture vole, une porte claque et un bel ectoplasme brillant fait son apparition, pour un film de 1973 ce n’est pas mal du tout. J’ai eu le droit à un « jump scare » (en français « saut de peur »), grâce à Madame Barrett et la médium qui ont poussé un hurlement que je qualifierais de « contagieux ». Malgré tout, il y a deux détails qui me chagrinent, le premier c’est que j’imaginais l’endroit plus vétuste, poussiéreux et sombre. Dans le film, les chambres sont bien entretenues. Le second détail, c’est le caractère des personnages qui est différent : la femme du docteur n’est pas effrayée, la médium n’est pas paranoïaque/hystérique, et le scientifique me semble très compréhensif dans le film. Ma vision des personnages est complètement chamboulée, ils sont moins antipathiques, du coup je ne ressens plus cette ambiance oppressante et malsaine qui m’avait pourtant marquée. 🤷‍♀️

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→ Une heure de film.

Je confirme que les scènes sont moins malsaines et vulgaires que dans le roman, par contre, elles sont plus « effrayantes » à mes yeux. Notamment quand Madame Barrett supplie Monsieur Fischer de coucher avec elle : dans le livre je l’imaginais sensuelle (un vrai succube), dans le film elle n’est pas attirante, elle a l’air souffrante, voire possédée. Quant aux personnages, ils commencent à avoir un caractère semblable à ce dont je me souvenais. Plus qu’une petite demi-heure de visionnage et on en aura terminé avec cette maison des damnés ! 😱

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→ Film terminé.

Il manque quelques scènes du roman, notamment quand le Docteur Barrett se fait attaquer dans le sauna et quand Monsieur Fischer est victime d’un esprit qui le contraint à patauger dans une mare (j’imagine que c’est tout simplement dû au fait qu’il n’y avait ni sauna, ni mare dans le bâtiment qu’ils ont loué pour le film). L’histoire est similaire, cependant, ce n’est pas le cas de l’atmosphère, ce que je ne déplore pas totalement : comme je le disais dans mon avis sur le livre et un peu plus haut sur cette page, l’ensemble du roman est axé sur le sexe et les vices des personnages. Retranscrire tout le roman aurait pu classer le film dans une autre catégorie, celle interdite aux moins de 18 ans. Je m’attendais à un film mauvais, finalement il s’en sort très bien !

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Parlons un peu du roman : ci-dessous la couverture du livre, ainsi que son résumé. Vous trouverez également mon avis sur le roman en consultant cet article.

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Résumé : Passer une semaine dans une maison réputée hantée depuis trente ans : telle est la mission confiée au Docteur Barrett et à une équipe de spirites par un milliardaire mourant, qui veut savoir si son âme lui survivra. Mission que le parapsychologue s’empresse d’accepter, espérant bien ainsi triompher des  » maléfices  » et vérifier ses théories scientifiques sur l’existence d’une vie après la mort. Arrivés sur place, les investigateurs se rendent vite compte que le lieu est à la hauteur de sa réputation : résonnant des crimes et des orgies qu’elle a accueillis par le passé, la maison Belasco semble les attendre. Prête à posséder les audacieux qui oseront pénétrer en son sein…

Pour conclure, je dirais que le film est une version édulcorée du livre car en effet l’ambiance est bien moins oppressante.
Quelques scènes sont manquantes, j’imagine que c’est dû à l’impossibilité de trouver un lieu avec un sauna et une mare.
Les personnes diffèrent physiquement de ce que j’imaginais en lisant.
Pour terminer, les effets spéciaux sont tout à fait corrects pour un film aussi vieux !

Bon visionnage, pensez au pop-corn ! Signé C. 🍿📽