Résumé : Le bourreau de Portland, qui étouffait et vitriolait ses victimes avant de les découper, est mort. Pourtant, le carnage continue. L’inspecteur Joshua Brolin, qui avait mis ce monstre hors d’état de nuire, doit aujourd’hui poursuivre son double. Cette fois, l’espoir n’est plus permis : le Mal a une grande famille et ses frères sont légion…
Note personnelle : ★ ★ ★ ★ ☆
Avis : Ce roman fait partie de la « Trilogie du mal ». J’ai été déçue quelques fois, mais heureusement dans celui-ci on retrouve une plume addictive ! 😍
J’ai été surprise par la première enquête résolue très rapidement. Je dois avouer que je me suis demandé ce qu’il pouvait avoir écrit dans « toutes ces pages restantes, OMG, WTF ». La bonne réponse est : un chef-d’oeuvre.
Une enquête avec Joshua Brolin un profiler, ainsi que Juliette la Belle kidnappée et arrachée in extremis des mains du Boucher de Portland. L’intrigue m’a subjuguée. La description de la psychologie du tueur est immersive et profonde, à glacer le sang ! Il semble que notre auteur soit toujours aussi documenté. Les explications médico-légales, les procédures, la police, tout semble si plausible, si réel que je n’ai pas pu m’empêcher de vérifier à plusieurs reprises que la porte d’entrée était bien fermée à clé. J’avoue même que la camomille n’a parfois pas suffit à empêcher l’insomnie. J’aurais préféré avoir le courage de Juliette, seulement j’ai été oublié à la distribution de cette qualité.
Joshua pour une fois n’est pas un enquêteur vieux, alcoolique ou border-line,c’est plaisant. J’aime bien les cabossés mais de temps en temps un enquêteur qui n’a pas le « profil type » ça fait du bien.
Un excellent roman à conseiller à votre entourage ! On retrouvera probablement Maxime Chattam sur mon blog pour la chronique sur « Le Signal » qui me met des étoiles dans les yeux à chaque fois que je croise la couverture ! ✨
Anecdote : roman lu dans le cadre du #BabyChallengeThriller de Livraddict 2018 – Photo venant du compte Instagram @tournezdespages image juste ici.
Bonne lecture ! Signé C.