FOCUS : Tome 1 – Chroniques du Monde Émergé – Licia Troisi

Résumé : Nihal est une jeune fille très étrange : oreilles pointues, cheveux bleus, yeux violets tout la distingue des autres habitants du Monde émergé. Fille d’un célèbre armurier, elle passe son temps à jouer à la guerre avec une bande de garçons. Mais la nuit, des voix plaintives et des images de mort hantent l’esprit de Nihal. Et lorsque le terrible Tyran envahit La Terre du Vent, elle comprend que ses cauchemars sont devenus réalité. L’heure du véritable combat a sonné. Nihal doit devenir une vraie guerrière et défendre la paix, à tout prix. Ses seuls alliés : Sennar, le jeune magicien, et une infaillible épée de cristal noir.

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Note personnelle : ★ ★ ★ ★

Avis : J’avoue qu’au début je n’ai pas du tout accroché. Nihal, le personnage principal, n’était qu’une enfant désobéissante, bagarreuse et têtue comme une mule. J’avais bien envie de lui tailler les oreilles en pointe mais il se trouve qu’elles l’étaient déjà, sans compter ses yeux violets si spéciaux.

Nous voyons donc cette enfant évoluer auprès de son père, qui lui est un homme honnête, travailleur et surtout bienveillant. La jeune fille réussi à acquérir une arme fabriquée par son père (durant un duel où il la laisse gagner) qu’elle pari dans un duel qu’elle perd. Profondément vexée, doutant du fairplay de son adversaire (qui a utilisé la magie pour la vaincre) et dorénavant aveuglée par un besoin de vengeance, elle décide d’aller apprendre la magie et devenir Chevalier Dragon.

La suite de l’histoire est conforme à ce qu’on attend d’un roman de la catégorie High Fantasy. La demoiselle et ses compagnons s’entraînent pour devenir meilleur et sauver le monde du grand méchant de l’histoire. Dans les « Chroniques du Monde Émergé », nous avons dans le rôle de la force antagoniste l’armée du Tyran (qui porte ma foi bien son nom). Je dois maintenant faire mon mea culpa : si je trouvais qu’au début de l’histoire la jeune Nihal n’était pas une héroïne intéressante, elle est devenue au fil des pages un personnage aux multiples talents, portant sur ses frêles épaules un horrible poids car elle est la dernière représentante de son peuple anéanti par le Tyran. Pire encore, elle voit son père adoptif mourir sous ses yeux, suivi quelques temps plus tard par Fen le Chevalier Dragon dont elle est tombée amoureuse (mais qui est « le mec de tata Soana » donc voilà voilà). Salazar, la tour-cité de la Terre du Vent, où elle habitait durant son enfance est détruite, elle est séparée de son ami le plus précieux… Bref ! Qui supporterait autant de peine ? Son comportement que je trouvais immature, tout comme son mentor Ido, m’a paru finalement tout à fait compréhensible. J’ai vu cette jeune demi-elfe d’un autre œil et me suis prise d’affection pour elle.

Revenons sur deux détails. Premièrement : je vous ai parlé il y a presque un an d’une saga dont j’ai lu le premier tome « Les artefacts du pouvoir » de Maggie Furey, que j’aimerais comparer aux « Chroniques du Monde Émergé ». Dans le premier, les femmes accèdent au pouvoir aisément, dans le second, Nihal est montré du doigt et doit redoubler d’efforts pour s’imposer. Je me demande encore lequel des deux schémas est le mieux. Le premier est tout de même plus logique. Deuxièmement : nous apprenons que le Tyran, que nous n’avons d’ailleurs jamais croisé, capture des êtres vivants pour effectuer des expériences sur eux, afin de créer des guerriers parfaits. C’est glauque. Avouez-le !

J’attendais avec impatience l’occasion de lire le second tome.

MAGICAL SUMMER CHALLENGE.pngAnecdote : Lu dans le cadre du Magical Summer Challenge 2019, menu « Rainbow Sparkle » catégorie « Starlight ».

Bonne lecture ! Signé C.

Avis rapides – Romans policiers jeunesses

Je vous propose quelques avis rapides sur des romans policiers pour jeune public, que j’ai empruntés à la bibliothèque municipale, histoire de voir ce que lisent nos enfants. 🕵️‍♂️📚

Cette nuit, Soledad – Hubert Ben Kemoun

Résumé : Il y a Arto qui n’est pas au rendez-vous. Il y a Ludovic qui se prend pour un gangster. Il y a Dimitri qui rôde et observe sans jamais se décider. Et il y a Soledad, qui mérite tellement mieux que cet inconnu qui la séquestre et la menace…

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Avis : Des cigarettes, des armes à feu, un jeune adulte qui mériterait qu’on appelle Pascal le Grand Frère, un adolescent orphelin qui survit en volant, une jeune fille trop rêveuse, une vieille dame pleine de malice et un cambriolage qui tourne mal. Voilà le résumé de ce roman. J’ai apprécié cette lecture, excepté une phrase qui m’a laissée perplexe « Si tu ne peux pas être avec celui que tu aimes, aime celui avec qui tu es. » Peut-être que je ne suis pas assez sage pour comprendre et accepter. Ou peut-être suis-je finalement trop fleur bleue, alors que je pensais être moins romantique que Schrek. Ce roman est tout de même violent pour un jeune public, je le laisserai être lu malgré tout, simplement parce qu’il montre que certaines personnes essayent d’être bienveillantes et d’aider les autres alors que ce sont elles qui ont besoin d’aide.

Une ombre en cavale – Sylviane Corgiat et Bruno Lecigne

Résumé : L’homme qui se réveille dans le train ne se souvient de rien. Pas même de son nom. Son passeport et un article de journal trouvés dans ses affaires lui apprennent qu’il s’appelle Léo Météni et qu’il vient de s’évader de prison. Il est seul et pourtant il se sent épié, poursuivi, traqué…

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Avis : Peut-être est-ce parce qu’on est en 2019, époque où le tabagisme est diabolisé, mais j’ai été surprise de découvrir que de nombreux personnages fumaient des cigarettes dans un roman jeunesse, comme dans le précédent (Cette nuit, Soledad de Hubert Ben Kemoun). Oublions ce détail et passons rapidement à mon avis personnel. Le personnage principal est amnésique et découvre rapidement qu’il est un meurtrier en cavale. Nous le suivons dans sa fuite qui le mène auprès d’autres truands pour lesquels il est censé ouvrir un coffre-fort, alors que, pauvre de lui, il a oublié comment faire. L’intrigue est bien construite, l’histoire est riche en rebondissements, il y a de quoi apprendre un peu de vocabulaire, on ne s’ennuie à aucun moment. Je déplore tout de même cette fin trop rapide. C’est compensé par une question étique qu’il m’a amenée à me poser « une personne amnésique doit-elle être punie pour les actes commis avant cette perte de mémoire ou serait-ce condamner un innocent ? ». En somme, je valide ce roman jeunesse.

Fantôme sous la pluie – Hubert Ben Kemoun

Résumé : Cela commence avec un message de quelques mots sur un répondeur téléphonique. Le message d’un homme sorti de nulle part. Un homme ou un fantôme ? Matthieu ne sait comment réagir au retour imprévu de ce père parti il y a des années. Que veut ce type qui revient en ville alors que celle-ci, encerclée par les crues du fleuve, s’apprête à sombrer comme un navire en perdition ?

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Avis : Nouveau running gag sur ce blog, mes choix s’arrêtent sur des romans jeunesses qui mentionnent des cigarettes et des armes à feu ! Certes, les pistolets dans un roman policier c’est logique, mais tout de même… Comme dans les romans précédents (voir ci-dessus) l’un des personnages principaux est un truand. L’histoire est partagée entre la vision du petit Matthieu (14 ans) et de son père, autour d’un sujet qui mérite d’être traité : l’abandon (Greg, le papa, est parti sept ans plus tôt sans jamais donner de nouvelles). Je trouve l’histoire très sombre, très triste, violente, sans happy end (à mes yeux). Bref, je suis dubitative. Je ne pense pas que je laisserais un enfant lire ce roman, même si au final on montre une forme d’acceptation de cette situation qui peut être compliquée à vivre pour un enfant.

Deux oui et un non pour ces romans que je vais ramener à la bibliothèque pour en emprunter d’autres. C’est mon péché mignon ! J’adore les romans jeunesses, qui se lisent très rapidement et me sortent généralement des pannes de lectures.

Bon lecture, Signé C.

FOCUS : Tome 7 – L’épouvanteur – Joseph Delaney

Premier focus sur un tome ! 🥳

J’ai décidé de changer de format pour ce type d’article. Attention, cet article sera « FULL SPOIL ».

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Le résumé made in Signé C. 😉

Après leur retour de Grèce, Thomas accompagné des chiens de Bill Arkwright (William Arkwright de son vrai nom, épouvanteur de Caster), Alice et l’Épouvanteur découvrent que la guerre fait rage dans le Comté. Les mauvaises ne s’arrêtent pas ici : la maison de Chipenden ainsi que la précieuse bibliothèque de l’Épouvanteur ont été détruites dans un incendie. Lizzie L’Osseuse, la redoutable sorcière, mère d’Alice, emprisonnée dans un puis au fond du jardin, s’est échappée. Le gobelin qui gardait la demeure est également parti, puisque le pacte a été rompu une fois la maison écroulée.

Désespérés, le trio prend la route de Caster, cependant, le nord du Comté à lui aussi été envahit. Ils décident donc de se réfugier sur l’Île de Mona. Cela n’est pas visiblement pas la meilleure des idées puisqu’ils y sont très mal reçu. En effet, le cruel Lord Barrule, refuse d’abriter les réfugiés qui arrivent par centaines suite à la guerre, et donne l’ordre aux hallebardiers (des soldats) d’emprisonner quiconque foule le sol de sa précieuse petite île.

Après une altercation avec un hallebardier, les trois acolytes se réfugient dans la forêt, où ils réfléchissent à un plan qui leur permettrait de quitter l’Île de Mona. Thomas se voit contraint de descendre en ville, afin de trouver un moyen de locomotion qui les emmènera loin de cet enfer. Alice, qui ne doit en aucun cas être séparé (à cause de la fiole de sang qui les protège tous les deux, cette fiole a été préparée par Alice pour protéger l’apprenti de l’Épouvanteur qui venait de vendre son âme au diable, littéralement) de lui mais qui a malheureusement reçu l’ordre de rester aux côtés de l’Épouvanteur, s’échappe et rejoint Tom. Ils trouvent une auberge, où un visage connu les remarque ! Il s’agit de Baines, capitaine de La Céleste, qui les a emmené en Grèce l’été précedent. La discussion commence à peine que des hallebardiers débarquent dans l’auberge, accompagnés par un semi-homme… Qui se trouve être un prisonnier, aveugle, muni de courtes cornes blanches. Sur ordre de ses bourreaux, ce dernier analyse les deux jeunes gens : pas de doute pour lui, Alice est une sorcière, quant à Thomas un bout d’obscur est logé au fond de son âme…

Ils sont alors emprisonnés ! Nous apprenons que le semi-homme se nomme Horn et qu’il est le demi-frère d’Alice (il est lui aussi le fruit d’une union entre une sorcière et Satan). C’est le troisième enfant du Malin que nous croisons (bien que nous en connaissions quatre) : Tusk qui était le fils de Mère Malkin (tous les deux morts dans le premier tome : elle a été tuée par Tom, est revenue sous forme de verme, puis a été mangée par des cochons sous cette forme, Tusk quant à lui a été tué par John Gregory d’un coup de lame d’argent dans le crâne), Alice la fille de Lizzie L’Osseuse, Horn dont on ne connait pas la mère, et nous savons que Grimalkin a eu un petit garçon parfaitement humain avec le Malin (que ce dernier a tué pour cette seule raison d’où la haine que Grimalkin voue au Malin). Nous rencontrons également un nouveau personnage qui va devenir d’une importance capital dans ce tome, Adriana Lonan.

Les péripéties s’enchaînent, on découvre que le méchant Lord Barrule est le chaman qui contrôle le grand danger de cette île à savoir le buggane. Qu’il a fait prisonnière Lizzie L’Osseuse. Qu’il est accro aux « jeux », enfin, aux combats de chiens, de coqs ou même d’humains, nous ne pouvons donc pas à mes yeux considérer ça comme des jeux, mais des actes de cruauté. Cet homme abject propose un marché à Thomas, en échange de sa liberté et celle de ses chiens, il doit tuer une sorcière durant un combat sous les yeux des parieurs. S’il perd, il sera exécuté et ses chiens se feront face dans l’arène. Le combat se solde par une égalité car Thomas est incapable de tuer la sorcière sous les yeux d’Alice (qui est sa fille), Lizzie se libère et tue Lord Barrule, elle devient ensuite « Reine » de l’Île et là c’est le drame… Passons sur le reste et penchons nous sur les points importants.

Les points importants :

  • Nous apprenons l’existence d’un quatrième enfant du Malin : Horn
  • Nous découvrons une nouvelle catégorie de démon : les bugganes

Les bugganes hantent principalement les ruines, mais leur territoire s’étend aussi loin qu’ils peuvent creuser. Ils prennent en général l’apparence d’un grand taureau ou d’un homme velu, bien qu’ils puissent choisir d’autres formes, notamment, celle d’un ver lorsqu’ils sont dans des zones marécageuses. Ils émettent deux sons caractéristiques, ils mugissent comme les taureaux, ou ils susurrent d’un timbre lugubre qui aspire l’énergie vitale des victimes (leur anima) qu’il stocke au milieu d’un labyrinthe sous terre.Ils sont insensibles au sel et au fer, mais ils peuvent être tués si une lame faite d’un alliage d’argent leur est enfoncée dans le cœur.

Je pense que Joseph Delaney s’est inspiré de la légende du grec du Minotaure pour créer les bugganes. Plusieurs points me mènent à cette conclusion : le tome précédent se déroule en Grèce (Delaney a dû probablement étudier ce pays, ses coutumes et ses légendes pour écrire le tome 6), et les ressemblances entre Minotaure et les bugganes, telles que le taureau, le labyrinthe, les sacrifices. Voici la légende du Minotaure :

Né des amours de Pasiphaé (épouse du roi Minos) et d’un taureau blanc envoyé par Poséidon, il est enfermé par Minos dans le labyrinthe. Situé au centre de la Crète, le labyrinthe est construit spécialement par Dédale afin que le Minotaure ne puisse s’en échapper et que nul ne découvre son existence. Tous les neuf ans, Égée, roi d’Athènes, sera contraint de livrer sept garçons et sept filles au Minotaure qui se nourrira de cette chair humaine. Thésée, fils d’Égée, sera volontaire pour aller dans le labyrinthe et tuera le monstre. (Source Wikipédia)

  • Adriana est une « sorcière d’oiseaux »

En effet, celle-ci possède le don de communiquer avec les oiseaux. Considérée comme une « bénévolente » par Tom mais un doute persiste, c’est une « pernicieuse » d’après les critères de L’Épouvanteur, même s’il n’exprime pas clairement sa pensée. Adriana se présente elle-même comme une « sorcière d’oiseaux » et elle ajoute :

 – Je n’ai pas d’animal familier. Je n’échange pas mon sang avec des bête, ni rien de ce genre. Mais les oiseaux sont mes amis. Nous nous aidons mutuellement. […]

Spoiler les morts !
  • Horn est tué par Lizzie L’Osseuse
  • Lord Barrule est tué par Lizzie L’Osseuse
  • Les parents d’Adriana Lonan sont tués par Lizzie L’Osseuse
  • Deux hallebardiers sont tués par Lizzie L’Osseuse
  • Stanton est tué par le buggane
  • Simon Sulby (fiancé d’Adriana) est tué par Lizzie L’Osseuse
  • Adriana Lonan est tuée par Lizzie L’Osseuse
  • Lizzie est tuée par des oiseaux (envoyés par Adriana)
  • Cinq bugganes sont tués par L’épouvanteur, Tom et Alice
    J’ai peut-être oublié des morts, notamment de personnages secondaires.

Il existe également une carte de l’Île de Mona dans le roman, elle est fournie à Thomas et l’Épouvanteur par Simon Sulby, le fiancé d’Adriana Lonan :

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J’ajoute brièvement, que Grimalkin m’a manqué dans ce tome ! 😉

Et vous, qu’avez-vous pensé de ce tome 7 ? Grimalkin vous a-t-elle manqué également ? Dans quelle catégorie classeriez vous Adriana Lonan ? 🤔

MAGICAL SUMMER CHALLENGE

Bonne lecture, Signé C.

Pour un petit chien gris – Yvon Mauffret

Résumé : Tanguy n’a pas hésité un seul instant lorsqu’il a entendu un «plouf» et vu une petite boule grise s’enfoncer dans la rivière. Après avoir sauvé le chiot, il lui a dit: «Tu t’appelleras Moïse et tu resteras toujours avec moi. »
Mais adopter un chien n’est pas aussi simple qu’il n’y parait !
Pour garder Moïse, Tanguy devra faire preuve d’ingéniosité et de patience.

pour un petit chien gris.pngNote personnelle : ★ ★ ★ ★ 

Avis : Un moment lecture teinté de nostalgie ! 😍

J’avais un très vague souvenir de ce roman, une sorte de mélancolie, paradoxalement je me souvenais d’une fin heureuse. Les recherches ont été assez longues car j’avais en tête le titre « Pour un petit chien triste ». Je pense, vingt ans plus tard, que la noyade du chien a eu un impact si fort sur la jeune personne que j’étais que j’en ai inconsciemment transformé le titre, associant ainsi le chagrin à cette lecture. Cela dit, lorsque j’ai retrouvé cette oeuvre sur Internet j’ai constaté avec bonheur que la couverture correspondait bien à mes souvenirs (ouf je ne yoyote pas encore totalement). 🤭

Parlons de Tanguy, c’est un petit garçon solitaire, doté d’une grande imagination, qui préfère passer son temps à rêver près de la rivière plutôt que de se mêler aux autres enfants. C’est un personnage auquel je m’identifiais facilement. D’autant plus que Tanguy et moi avions un autre point commun, l’amour des animaux, bien que je n’ai jamais eu son degré de courage (ainsi soit dit en passant, je n’ai jamais eu à sauter à l’eau pour récupérer un chiot non plus). 🐶

Les similitudes entre ce jeune garçon et moi s’arrête ici, car ce roman traite d’un sujet important pour certains enfants, dont je ne faisais pas partie : accepter le divorce des parents et leurs nouveaux conjoints. En effet, Tanguy semble détester son beau-père et idéaliser celui qui a refait sa vie loin de lui. Grâce aux amitiés qu’il va créer avec d’autres protagonistes plus touchants les uns que les autres, il va finir par accepter cette situation et se rendre compte que son beau-père n’est pas si monstrueux que cela et cesser d’idéaliser son père absent.

Pour résumer, c’est une histoire d’amitiés qui aide à régler une histoire de famille, le tout avec des animaux. Je pense qu’il peut aider certains enfants qui ont du mal à digérer le divorce de leurs parents, cependant, je la conseille tout autant aux adultes. 😍

Anecdote : Nidalee m’a confié ne pas aimer le titre du roman ! 🙀 Elle préfère « Pour un petit chat gris ». 😸

Bonne lecture ! Signé C.