Le bonhomme de neige – Jo Nesbø

Résumé : Oslo, novembre 2004, la première neige tombe sur la ville. Dans le jardin des Becker, un bonhomme de neige fait irruption, comme sorti de nulle part. Le jeune fils remarque qu’il est tourné vers la maison et que ses grands yeux noirs regardent fixement leurs fenêtres. Dans la nuit, Birte, la mère, disparaît, laissant pour seule trace son écharpe rose, retrouvée autour du cou du bonhomme de neige… Dans le même temps, l’inspecteur Harry Hole reçoit une lettre signée «le bonhomme de neige» qui lui annonce d’autres victimes. Plongeant son nez dans les dossiers de la police, Harry met en lumière une vague de disparitions parmi les femmes mariées et mères de famille de Norvège. Toutes n’ont plus donné signe de vie le jour de la première neige… D’une sobriété étonnante, Harry Hole va se retrouver confronté, pour la première fois de sa carrière, à un tueur en série agissant sur le territoire norvégien et qui le conduira jusqu’au gouffre de sa folie…

Le bonhomme de neige image

Note personnelle : ★ ★ ★

Avis : Le retour du running gag du blog. J’ai lu ce roman en pensant être en présence d’un « one-shot » mais il se trouve qu’il est le 7ème de la saga (Inspecteur Harry Hole). Cette fois, ma boulette n’est pas restée sans conséquence… Figurez-vous que l’intrigue (enfin, le nom du / de la coupable) du premier roman de la série (L’homme chauve-souris) est dévoilée dans celui-ci. Le pire auto-spoil de ma vie.

De ce que j’ai compris, l’inspecteur Harry Hole était alcoolique (peut-on parler d’alcoolisme au passé ?), mais c’est sobre qu’il enquêtera dans ce roman. Nous voilà donc en hiver, plutôt logique pour les bonhommes de neige, n’est-ce pas ? L’idée qu’une chose aussi enfantine et par conséquent innocente qu’un bonhomme de neige soit au cœur de l’intrigue m’a bien plu. On retrouve cette idée dans le roman « Octobre » de Søren Sveistrup, avec son bonhomme en marron (ne comparons pas les deux livres, je peux donner mon vainqueur sans la moindre hésitation, et ça m’embête un peu). Bref, l’idée me plaisait, mais. Vous le savez, un « mais » ce n’est pas bon.

Mais voilà : quelques longueurs dans le roman m’ont empêché de l’apprécier pleinement. Par ailleurs, je trouve que l’inspecteur ne cherche pas vraiment, les indices tombent du ciel, comme ça… Quelle chance ! Pour lui, pas pour le ou la coupable bien évidemment.

Par ailleurs, à vouloir faire dans « mindfuck littéraire » qui est maintenant à la mode, l’auteur a choisi un ou une coupable parmi les personnes les plus insoupçonnables. Insoupçonnables, pas tant que ça finalement. Nous comprenons bien avant Harry Hole qui il va devoir boucler, ce qui rend la fin un peu moins passionnante.

Je garde malgré tout une bonne impression de ce livre. L’explication, bien qu’un peu « servie sur un plateau », reste scientifique et acceptable par la lectrice que je suis. J’ai passé un bon moment en lisant ce livre (sauf le moment du spoil, où mon visage est passé par toutes les couleurs de l’arc-en-ciel – PS : j’ai « L’homme chauve-souris » juste après, histoire de confirmer qu’il s’agissait bien de la personne évoquée, que dis-je, désignée dans ce roman… Et bah ouais ! C’est le cas, et ça je ne le pardonne pas à l’auteur ! 😉).

Anecdote : Roman adapté en film en 2017 ! ⛄ Je vous en parle prochainement sur le blog.

Bonne lecture ! Signé C.

L’orme aux loups – Thierry Berlanda

Résumé : L’orme aux loups est un lieu-dit de vignes et de forêts, au pied de la colline de Sancerre. Quelques années après le terrible siège de la ville protestante par les troupes du catholique duc de Bourges, une série de meurtres particulièrement sauvages mettent la ville sous pression. Les soupçons se portent d’emblée sur Fondari, un montreur d’ours de passage, mais les rivalités entre les détenteurs de l’autorité politique et morale, laissent entrevoir bientôt d’autres hypothèses.

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Note personnelle : ★ ★ ★ ★ ☆

Avis : J’ai craqué en voyant ce roman sur sa petite étagère. Nul besoin de lire le résumé. La raison ? J’adore les loups, et les animaux de la forêt en général… Écureuils, hiboux, ours, loups, renards, j’ai un mal fou à leur résister.

Un roman policier de moins de deux cent pages, ça se dévore rapidement (comme un muffin au goûter). Parfait pour la saison, cette histoire se déroule en hiver… Nous y découvrons Fondari, personnage principal qui va connaître quelques déboires avec « la justice de l’époque », car nous serons catapultés en 1584, à Sancerre… Petite anecdote : Sancerre existe, il s’agit d’une commune française située dans le département du Cher (les amateurs de vins devraient connaître). Grosso modo, c’est en plein milieu de la France. Revenons à nos moutons, ou plutôt à nos ours ! (Il va falloir que je cesse de la faire celle-là…).

Fondari est un montreur d’ours. Fondari était précédé par sa propre légende, celle d’un voyageur mystérieux, noir de cape et de chapeau, et de son croque-mitaine. Il arrive donc à Sancerre, avec son ours dans sa cage, un soir d’hiver. Chacun s’écartait des nouveaux venus avec méfiance. Des femmes se détournaient pour échapper à l’odeur de la bête ou à son œil assurément maléfique, d’autres fustigeaient leurs enfants trop curieux d’apercevoir le monstre écrasant sa truffe sur les interstices du haquet, d’autres encore bâclaient un signe de croix en se repliant dans leurs bauges. Une fois au chaud dans l’auberge, le montreur d’ours commande de la nourriture et un lit. Le repos fut bref, une femme entre paniquée dans la salle, hurlant que les loups ont pris son enfant. Les clients se détournent d’elle, convaincus que la petite n’est déjà plus en vie. Seul Fondari accepte d’apporter son aide à la femme. Malheureusement, arrivé à l’extérieur, il s’aperçoit avec effroi que la cage de l’ours est éventrée et désespérément vide.

Fondari est emprisonné sans le moindre jugement, son ours est obligatoirement à l’origine de la disparition de l’enfant. Il sera également accusé d’autres crimes qui vont avoir lieu sur une courte période. Je n’entre pas plus en détail dans l’histoire, mais je peux vous le dire : vous tiendrez entre vos mains une enquête vraiment intéressante. Ce roman, c’est du skip, petit et puissant ! Je n’ai pas été déçue que l’histoire ne tourne pas entièrement autour des loups (parce qu’effectivement, avec ce nom je m’attendais à en croiser à tous les chapitres). Une charmante lecture que je conseille aux amateurs de romans policiers.

Anecdote : Un achat compulsif durant mes courses. 🧼🧀🍗📖🍎🥦🧴

Bonne lecture, Signé C.

[GATACA] – Franck Thilliez

Résumé : Quel lien entre onze psychopathes gauchers et l’homme de Cro-Magnon ? Alors que Lucie Henebelle peine à se remettre de ses traumatismes, l’ex-commissaire Sharko se voit relégué à des enquêtes de seconde zone. Telle la découverte du corps de cette jeune scientifique, battue à mort par un grand singe. À nouveau réunis pour le pire, les deux flics plongent aux origines de la violence, là où le génome humain détermine son avenir : l’extinction. Bienvenue à GATACA…

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Note personnelle : ★ ★ ★ ★ ★

Avis : Ne l’ouvrez surtout pas si vous n’avez pas le temps de le terminer ! Vous allez vivre une véritable torture en attendant le moment où enfin vous pourrez connaître la suite. Il mérite amplement les cinq étoiles que je lui ai attribuées. Tout commence en France par la découverte du cadavre d’une étudiante dans la cage d’un singe, plus précisément une guenon, un chimpanzé de l’Afrique de l’Ouest, et tout se termine en Amazonie. En passant par les Alpes françaises, Paris, et même Lyon. Vous entendrez parler de latéralité, de génome, de chromosomes, d’évolution, de violence…

Il pourrait effrayer les moins scientifiques d’entre vous, mais rassurez-vous Thilliez a réussi à le rendre accessible à tous. Vous l’aurez compris, vous allez partir à la conquête de l’ADN humain et ce dès les premières pages.

L’histoire ne s’arrête pas à cette enquête. Avec Franck Sharko et Lucie Hennebelle, il était peu probable que l’entièreté du roman tourne autour de la recherche de l’assassin. Vous tremblerez donc en prenant connaissance des ennuis auxquels l’ex-commissaire Sharko va faire face. Manien, de la brigade criminelle de Paris, qui devient très vite son ancien supérieur, va s’obstiner à l’accuser d’avoir consciemment détruit une scène de crime. Pire encore, il va se persuader qu’il l’a fait dans le but de cacher sa culpabilité… Je dois vous avouer que je ne me souviens plus si l’auteur nous dit clairement que Sharko est innocent, mais au fond de mon âme de lectrice, l’ex-commissaire a de grandes chances d’être coupable. Oui, vous avez bien lu, je pense que Sharko a tué un homme. Je suis d’accord avec cette andouille de Manien, sa théorie tient debout, les réactions de Franck le confirme à mes yeux.

Attendez, ce n’est pas tout, l’histoire se penche également sur l’état de Lucie, qui tente de faire son deuil après la découverte du cadavre calciné de Clara. Nous la verrons quelques fois en compagnie de sa mère, de Juliette et de son chien Klark. Cette histoire parallèle est vraiment touchante, bouleversante, surtout par son surprenant dénouement. J’ai été complètement aveugle durant toute ma lecture, je dois bien l’avouer. Je ne sais pas si je suis passée à côté des signes ou si l’auteur n’en a donné aucun, mais dans les derniers chapitres, j’ai été littéralement scotchée, par les trois parties d’ailleurs… Celle de Sharko, celle de Lucie et celle de l’enquête.

J’ai envie de vous partager quelques extraits marquants de cette lecture.

[…] Ce sont deux phalènes du bouleau. Observez-les attentivement. Que constatez-vous ?
Mains dans le dos, Sharko s’approcha de la vitre, intrigué.
– Deux mites complètement identiques, dont l’une a les ailes plutôt blanches, et l’autre, les ailes plutôt noires.
– Eh bien voyez-vous, au XIXᵉ siècle, en Angleterre, la forme pâle était ultra-dominante. Durant le jour, les phalènes pâles se camouflaient sur les troncs des bouleaux, ce qui assurait leur survie. Voilà pourquoi elles étaient plus nombreuses : les prédateurs ne les voyaient pas. […] Mais de nos jours, on a remarqué que la forme pâle devenait de plus en plus rare, et que la forme noire se développait. […] Avec l’avènement de l’ère industrielle, l’Angleterre a vécu un grave problème de pollution atmosphérique. Cette pollution modifiait la couleur des bouleaux de gris pâle à gris foncé. Ainsi, il devenait de plus en plus difficile pour la forme pâle du papillon de survivre puisque son camouflage n’était plus efficace, contrairement à la forme sombre. Vous avez là un exemple type de sélection naturelle influencée par la culture humaine.

Est-ce horrible ou magnifique ? L’Homme et ses habitudes de consommation, peut avoir une influence le monde. Je dirais qu’actuellement, à grande échelle, c’est tragique, puisque nous abusons des ressources que la Terre peut nous fournir. Mais d’un autre côté le monde évolue avec nous. La faune et la flore s’adaptent. Je préfère voir ces changements comme un espoir. L’espoir que nous ne sommes pas en train de détruire le monde, mais d’en créer un différent.

Pourquoi le système immunitaire, qui attaque tous les corps étrangers et rejette même les greffes, laisse-t-il un organisme, dont la moitié du patrimoine génétique est intrus (car paternel), se développer dans le ventre maternel ? Quels secrets de l’Évolution permettent la naissance in vivo, à l’intérieur même de l’être humain ?
Certes, le point de départ est la corrélation, voire la causalité entre violence et latéralité, toutes deux étudiées par Éva Louts, mais au fil des pages l’histoire va vous amenez à regarder un horizon plus large. Pour finalement se rétrécir à nouveau. Une enquête « en losange », comme toutes les enquêtes je suppose. Voilà donc le pourquoi de cet extrait, qui sont les interrogations d’un des suspects, ce qui l’a poussé à choisir la carrière qu’il a eue.

Tout à fait. Gène de forte production laitière pour les vaches, et gène de la tolérance pour les hommes. Si je me souviens bien, c’est ce qu’on appelle une coévolution, ou encore une course à l’armement entre la vache et l’homme : la sélection naturelle a fait que l’homme, à l’origine chasseur-cueilleur et se nourrissant exclusivement de viande et de fruits, puisse boire le lait des vaches qu’il domestiquait. De ce fait, elle a aussi rendu les vaches meilleures productrices de lait. Et plus elles produisaient, plus les hommes buvaient… […] Ces individus non-tolérants ont dû avoir des ancêtres qui vivaient éloignés du centre de domestication des races bovines laitières. Plus les vaches étaient éloignées, moins les individus supportaient le lait et développaient le gène. A l’époque de mes études, les chiffres indiquaient environ 5% d’intolérants au lactose en Europe, et un truc du genre 99% en Chine, par exemple. Car 70% de la population mondiale est intolérante. Fais boire du lait à un Asiatique, et il vomit sur-le-champ. Par contre, n’importe quel Français pur souche depuis des générations pourra consommer du lait à volonté. […]
Un dialogue entre Sharko et Paul Chenaix, sont ami légiste. C’est un passage très intéressant, parce que c’est l’une des clés du mystère. Outre ce fait, c’est une théorie qui me plaît bien, qui me semble plutôt logique. Je ne vous cache cependant pas que je préfère le terme « coévolution » au second.

Pour conclure, je dois vous avouer que le seul défaut que j’ai trouvé à ce roman c’est qu’il est difficile à poser. Peut-être également, et là, c’est purement personnel… Petit caprice : j’aurais aimé un peu plus d’Amazonie. Cela dit c’était une lecture fascinante. Du pur génie !

Anecdote :Badge PAC 2020 Lu dans le cadre du Pumpkin Autumn Challenge 2020, menu automne frissonnant, catégorie « Je suis Médée, vieux crocodile ! » (Trahison, thriller, policier, horreur, épouvante).

Bonne lecture, Signé C.

Ma PAL – Pumpkin Autumn Challenge 2020

🍂 Merci Guimause pour ce challenge automnal. 🍂

Sur les réseaux vous pouvez retrouver de nombreuses personnes participant à ce challenge, et vous inspirer de leur PAL (pile à lire), en cherchant avec le hashtag :

#PALduPAC

Il existe également une page Facebook où les participants sont ravis d’échanger leur expérience de ce challenge. Cliquez ici pour y accéder. 🎃

Grâce aux défis comme celui-ci, j’ai rencontré des passionnés de lecture et j’ai eu le plaisir de voir que les livres ne sont pas de l’histoire ancienne. Je profite de cet article pour faire un petit coucou à @Enlivre_moi une femme exceptionnelle qui partage mes passions. Je l’ai rencontrée sur la page Facebook du PAC, il y a deux ans, à la création de mon blog et son compte instagram. J’ai vu son compte grandir, s’épanouir et rassembler toujours plus de monde : honnêtement, elle le mérite quand on voit la qualité de son feed. N’hésitez pas à vous abonner, elle est toujours prête pour un brin de causette, vous ne serez pas déçu !

Je vous laisse maintenant aux bons soins de Guimause pour vous expliquer le concept de ce défi. De mon côté j’ai choisi de me prêter au jeu en prenant les trois menus et en lisant un livre par sous-menus, ce qui nous fait une PAL de 12 livres. Cet article étant en évolution constante, je vous mettrais les liens de mes chroniques sur ces livres. 📚

Où en suis-je dans le challenge ?!

Frise PAC 12

12 livres lus sur 12
12 articles en ligne sur 12

Découvrez sans plus attendre ma pile à lire ! Trois menus, quatre livres par menus.

Le premier menu, automne frissonnant. 

PAC 2020 - Automne frissonnant

Les sous-menus sont les suivants (cliquez sur l’intitulé du sous-menu pour retrouver la chronique du livre) :

👻 Je suis Médée, vieux crocodile ! (Trahison, thriller, policier, horreur, épouvante)
[GATACA] – Franck Thilliez
👻 Les chimères de la Sylve rouge. (Gothique, vampire, créatures de la nuit)
La princesse noire – Serge Brussolo
👻 Les supplices de la Belladone. (Un livre à la couverture noire)
Train d’enfer pour ange rouge – Franck Thilliez
👻 Esprit es-tu là ? (Fantôme, fantôme du passé, famille, historique, classique)
La mélancolie des sirènes par trente mètres de fond – Serge Brussolo

Un menu partagé entre deux auteurs que j’affectionne, mais également un menu low-cost : j’avais dans ma PAL depuis un moment ces deux romans de Thilliez que je ne trouvais ni le temps, ni l’envie de lire. Quant aux Brussolo, j’ai eu la chance de le tomber dessus en fouillant dans les grands bacs de livres d’occasion de la librairie Boulinier à Paris Bonne Nouvelle.

Le deuxième menu, automne douceur de vivre. 

PAC 2020 - Automne frissonnant

Les sous-menus sont les suivants (cliquez sur l’intitulé du sous-menu pour retrouver la chronique du livre) :

☕ Il fait un temps épouvantail ! (Halloween, Samhain, Automne)
Octobre – Søren Sveistrup
☕ Siroter un chocolat chaud sous les saules. (Anthropomorphisme, enfance, feel good, cocooning)
La ferme des animaux – George Orwell
☕ Fafnir ton assiette sinon pas de piécette ! (Créatures légendaires et fantastiques, petit peuple, féérie, conte…)
Alice et l’épouvanteur – Joseph Delaney
☕ A window to the past. (Sorcière, sorcier, mage, SFFF)
Autre-Monde tome 2 – Malronce – Maxime Chattam

Ce deuxième menu, plus diversifié que le premier, contient également des œuvres de mes auteurs favoris. Delaney pour sa saga l’épouvanteur que je redécouvre toujours avec joie, mais également Chattam, avec le deuxième tome de la saga Autre-Monde ! Le troisième tome figure parmi mes choix pour le dernier menu. Quant à Sveistrup et Orwell, un mélange d’ancien et de nouveau auteur ! J’ai hâte de découvrir ce qu’ils nous réservent.

Le troisième menu, automne des enchanteresses.

J’ai essayé de trouver des romans qui pouvaient coller au menu, pendant plus de deux semaines. Des livres qui me correspondraient également, parce que le but de jeu c’est quand même de passer un bon moment. J’ai décidé de reprendre des intitulés du premier menu, Automne frisson

PAC 2020 - Automne enchanteresse

Les sous-menus sont les suivants (cliquez sur l’intitulé du sous-menu pour retrouver la chronique du livre) :

🍄 Les rêves d’Aurore. (LGBTQI+, Militantisme) Je suis Médée, vieux crocodile ! (Trahison, thriller, policier, horreur, épouvante)
Joyland – Stephen King
🍄 Sarah Bernhardt, montre sacré. (Dramaturgie, pièce de théâtre, arts) Je suis Médée, vieux crocodile ! (Trahison, thriller, policier, horreur, épouvante)
Démences – Graham Masterton
🍄 Les écailles de Mélusine. (Féminisme, transformation, métamorphose)
Les chimères de la Sylve rouge. (Gothique, vampire, créatures de la nuit)
La nuit des morts vivants – John Russo
🍄 Nausicaä de la vallée du vent. (Nature writing, écologie, nature, post-apocalyptique)

Autre-Monde tome 3 – Le coeur de la Terre – Maxime Chattam

Un troisième menu remodelé à mon image. En voyant la catégorie « post-apocalyptique » j’ai sauté de joie, je savais d’avance quel roman inclure… Pour les autres, j’ai dû adapter le challenge. En effet, j’avais très envie de lire du Stephen King cet automne. Quant à Graham, ses ouvrages me font de l’œil depuis longtemps. La nuit des morts vivants, fait partie de la collection Gore, ces romans de gare que j’affectionne. Ce sera une lecture rapide !

Avez-vous participé ou participez-vous cette année au Pumpkin Autumn Challenge ? Avons nous des lectures communes ? Avez-vous déjà lu ces livres ? 🎃

J’ai loupé le Pumpkin Autumn Challenge 2019, faute de temps. Ce challenge reste mon préféré d’entre tous, c’est grâce à lui que j’ai commencé mon blog et découvert des personnes merveilleuses, des lectrices, des lecteurs, des bloggeuses, bloggeurs, des gens passionnés et des gens passionnants. Merci pour ce fabuleux challenge et pour cette chaleureuse communauté. 🎃📚

Signé C.